L’Université Tunis-Carthage accueille la présidente de l’UTICA

Tunis, le 23 mai 2015- Madame Wided Bouchamaoui, présidente de l’UTICA, était, ce vendredi 22 mai 2015, l’invitée d’honneur de l’Université Tunis-Carthage dans le cadre d’une conférence-débat sur le thème « L’UTICA et les défis de l’après-révolution ».

Cette conférence d’une actualité brûlante était destinée aux étudiants de l’Université inscrits en première année Administration des Affaires (AA), Finance et en Hautes Etudes Commerciales (HEC).

La présidente de l’UTICA a commencé son intervention par une présentation générale et historique de l’organisation patronale, rappelant sa mission qui est de fédérer les entreprises privées. Elle a souligné que son rôle était de promouvoir le site Tunisie en matière d’investissements et d’encourager les secteurs créateurs de richesse. Sur un autre plan, l’UTICA a également un rôle social dans la mesure où elle intervient dans tous les conflits sociaux pour essayer de les résoudre.

Mme Bouchamaoui a indiqué que l’UTICA rassemblait près de 150.000 entreprises privées. Elle a expliqué qu’elle était constituée de 17 fédérations professionnelles nationales, 370 chambres syndicales nationales, 24 unions régionales, 216 unions locales et 1700 chambres syndicales régionales. Le bureau exécutif de l’UTICA est composé de 31 personnes dont elle est la seule femme.

L’action de l’UTICA consiste à agir pour valoriser le travail. « Nous avons constaté que la valeur du travail s’est détériorée depuis la révolution, de même qu’une baisse de rendement et une augmentation de l’absentéisme », a souligné l’invitée de l’Université Tunis-Carthage, ajoutant : « on ne peut pas appeler à la croissance et embaucher des chômeurs dans ce contexte car le taux de croissance qui est actuellement de 1,7% ne suffit pas à rembourser la dette du pays ».

Mettant en exergue l’importance de la contribution du secteur privé à l’économie de la Tunisie, la présidente de l’UTICA a affirmé que la participation du privé au PIB est actuellement de 70% contre 60% en 1990. Elle a rapporté qu’en 2014, 32.964 entreprises privées ont été créées et que 2.100.000 personnes travaillent dans le privé, estimant que le secteur public était incapable à lui seul de résorber les 650.000 chômeurs actuels.

« Nous défendons les entreprises citoyennes, celles qui payent leurs impôts, de même que l’on se bat pour que l’initiative privée soit une valeur », a également dit Madame Bouchamaoui qui a encouragé les jeunes à effectuer des stages d’été en entreprises pendant les vacances qui sont trop longues. « Ayez le courage de vous aventurer pour montrer que vous êtes capables de créer cette richesse en Tunisie » a-t-elle lancé aux participants à la conférence.

Répondant aux questions des étudiants de l’Université Tunis-Carthage, la présidente de l’UTICA a indiqué que le commerce parallèle représentait 54% de l’économie, ce qui était « énorme ». Elle a expliqué que ce stade avait été atteint à cause du manque d’autorité et de sécurité. « Ce qui est plus grave, c’est qu’il y a des jeunes qui vivent du commerce parallèle et qu’il faudra trouver une solution pour les réintégrer dans le système du régime réel ».

Mme Bouchamaoui a par ailleurs abordé la question du contrat social et de l’importance de le mettre en œuvre entre les 3 partenaires que sont l’UTICA, l’UGTT et le gouvernement. « Tout le monde doit se remettre au travail pour préserver le pays » a-t-elle conclu dans un message solennel destiné aux étudiants, qui seront ensuite interrogés sur les enseignements qu’ils ont tirés de cette conférence de la présidente de l’UTICA.

En prévision de Ramadan : Novo Nordisk soutient la campagne de sensibilisation

Tunis, le 12 mai 2015

En Tunisie, malgré les progrès réalisés dans l’organisation et l’accès aux soins, la prévalence du diabète continue d’augmenter. En 2013, Elle a été estimée à 9.23% par la fédération internationale de diabète .Ce chiffre serait même plus important selon les résultats de l’enquête Tahina (2005) où la prévalence est estimé à 15.1% pour la population âgée entre 35 et 70 ans.

Les laboratoires Novo Nordisk -en tant que leader mondial dans le traitement du diabète-, œuvrent pour améliorer la sensibilisation au problème du ‘diabète’. Dans ce cadre, Novo Nordisk organise une campagne de sensibilisation et de prévention en
collaboration avec l’amicale des diabétologues de Tunisie , et les professionnels de la santé, visant à prévenir les risques que court une personne diabétique pendant le mois sacré de Ramadan.

Le diabète est une affection difficile à contrôler, le patient diabétique doit sans cesse adapter son traitement à sa ration glucidique. Au cours du mois de Ramadan, il y a un risque accrue de déséquilibre et de complications aigues pour les personnes vivant avec un diabète et cela pendant et même après le mois de Ramadan.Il y a malheureusement un grand manque d’information chez les patients, sur les risques encourus en cas de jeûne d’où la nécessité pour eux de consulter leur médecin traitant pour prendre la décision de jeûner ou pas (au moins un mois avant). D’après une enquête faite en Tunisie (Enquête IPSOS ,2010), 46% des personnes interrogées étaient d’accord qu’il est recommandé aux diabétiques de ne pas jeûner pendant le mois de ramadan, alors que 21% d’entre elles n’étaient pas d’accord et 33% ne savaient pas si il était recommandé de jeûner ou pas.

Un musulman (diabétique de type 2) sur 8 jeûne durant le ramadan (EPIDIAR)

Le jeûne augmente le risque d’hypoglycémie et d’hyperglycémie
A cause des changements dans :
■ les habitudes alimentaires
■ le mode de vie
■ le rythme du sommeil

1. Le risque d’hypoglycémie
■ Risque 7,5 fois plus important d’hypoglycémie sévère durant le ramadan*1
■ L’hypoglycémie est la raison la plus courante de rupture du jeûne
durant le ramadan2
■ L’hypoglycémie a des répercussions négatives sur la qualité de vie et le bien-être psychologique des patients3

2. Le risque d’hyperglycémie
■ Risque 5 fois plus important d’hyperglycémie sévère ou d’acidocétose durant le ramadan1
■ Du a une réduction excessive des doses d’insuline pour éviter l’hypoglycémie ou des changements dans le régime alimentaire ou l’heure des repas peuvent provoquer des épisodes d’hyperglycémie post-prandiale4
■ L’hyperglycémie post-prandiale est un facteur de risque indépendant pour les maladies cardiovasculaires et macrovasculaires*5

La prise en charge du diabète durant le ramadan peut être complexe

■ Des ajustements thérapeutiques appropriés, notamment de l’insuline, sont nécessaires pour éviter hypoglycémies et hyperglycémies
■ Seul un tiers des patients ajuste sa dose d’insuline durant le ramadan

La préparation est fondamentale pour la prise en charge du diabète durant le ramadan

1. Évaluation individualisée pré-ramadan
Évaluation clinique et expérience du ramadan précédent, conformément aux directives actuelles de l’ADA
2. Éducation structurée
Conseils sur la fréquence de la surveillance glycémique, sur le régime alimentaire, sur l’activité physique et sur la rupture du jeûne
3. Jeûne à titre d’essai pendant 3 jours
Évaluation de la réponse individuelle au jeûne et des besoins en insuline

Recommandations
Le groupe de travail sur l’insulinothérapie durant le ramadan fait les recommandations suivantes4 :
■ Le plan de prise en charge durant le ramadan doit être individualisé
■ Le contrôle glycémique doit impérativement être établi
■ La posologie dépendra de l’importance et de la composition du repas, de la période de jeûne post-prandiale et des objectifs glycémiques individuels
■ Des ajustements thérapeutiques appropriés sont nécessaires pour éviter hypoglycémies et hyperglycémies

L’objectif de cette campagne est justement de sensibiliser les patients, leur entourage et les acteurs de santé publique sur les risques potentiels du jeûne pour les personnes ayant un diabète. Mais aussi promouvoir l’importance de la prise en charge du diabète (pour éviter l’apparition des complications) avant, pendant, et après le mois de Ramadan. La campagne a aussi pour objectif d’accompagner les patients à travers la transmission de conseils sur la conduite à adopter pendant le mois de Ramadan via des séances d’éducation et des journées de sensibilisation.

Des journées de sensibilisation et de dépistage seront organisées comme suit :
-Jeudi 14 et Vendredi 15 mai de 09 à 17H à l’avenue Habib Bourguiba en face du théâtre Municipale.
-Samedi 23 et 30 Mai 2015 au centre commerciale Carrefour ( en face de MANGO) de 09h à 17h

où des conseils éducationnels, thérapeutiques et nutritionnels seront dispensés gratuitement pour tous les patients par des spécialistes du Diabète et de la Nutrition.

A propos de Novo Nordisk :

Novo Nordisk est un spécialiste de la santé et l’un des leaders mondiaux du traitement du diabète. La société occupe également une position de premier plan dans des secteurs comme les traitements hémostatiques, les traitements par hormone de croissance et les traitements hormonaux substitutifs. Novo Nordisk fabrique et commercialise des produits et services pharmaceutiques reconnus par les patients, la profession médicale et la société. Basé au Danemark, Novo Nordisk emploie environ 40 000 personnes dans 80 pays et commercialise ses produits dans 180 pays. Ses actions ordinaires sont cotées à la bourse de Copenhague et de Londres et ses certificats américains d’actions étrangères (ADR) sont inscrits à la bourse de New York sous le symbole « NVO ». Pour plus d’informations, consultez www.novonordisk.com.tn

BSB Toyota remporte une grande distinction régionale

Tunis, le 11 mai 2015- BSB Toyota, concessionnaire officiel de la marque Toyota en Tunisie, vient de remporter le prix  « Vehicle Sales Record » (Record de ventes de véhicules) qui lui a été attribué par la division Afrique de Toyota Motor Corporation.

Ce prix distingue la société tunisienne pour ses performances en termes de progression des ventes en 2014 en Afrique.

Ce prix a été décerné à M. Moez Belkhiria, PDG de BSB Toyota, lors du dernier Pan African Meeting  2015 par deux  représentants de Toyota Motor Corporation (TMC), M. Yu Asano, le directeur général de la Division Afrique, et M. Johan Van  Zyl, président de Toyota South Africa Motors.

Commentant la réception de ce trophée, M. Moez Belkhiria a déclaré que cette récompense rejaillissait sur l’ensemble des équipes de BSB Toyota en Tunisie et récompensait le travail de cette grande équipe professionnelle et qui a su s’adapter aux exigences les plus strictes de la marque japonaise, ce qui a permis de proposer au client tunisien des prestations et des services en tous points identiques aux procédures Toyota.

A propos de BSB :

La société BSB est le concessionnaire officiel de la marque Toyota en Tunisie depuis 1985. BSB commercialise des voitures particulières en dinars tunisiens et étend désormais sa gamme aux minibus, 4X4, SUV… Le réseau BSB Toyota compte actuellement 6 agences en Tunisie: à Tunis (La Charguia et la Marsa), Nabeul, Sousse, Sfax et Djerba, outre ses 5 revendeurs de pièces détachées agréés répartis dans tout le pays.

Le groupe BSB, qui a été créé en 1968 par feu Béchir Salem Belkhiria, opère dans divers autres secteurs d’activité et compte actuellement 250 salariés.

TUNBEL fête les 175 ans de l’amitié et de la coopération tuniso-belge

Tunis, le 6 mai 2015– Le Conseil d’affaires économiques et culturelles tuniso-belge, TUNBEL, a organisé aujourd’hui une grande cérémonie au Musée du Bardo afin de célébrer le 175e anniversaire de la signature du premier Traité d’amitié tuniso-belge signé en 1839 au Palais du Bardo par Ahmed Bey, bey de Tunis, et Léopold 1er, roi des Belges.

Cet événement coïncide avec la visite officielle en Tunisie de M. Didier Reynders, vice-Premier ministre belge et ministre des Affaires étrangères et européennes, chargé de Beliris et des Institutions culturelles fédérales.

Une grande exposition a été inaugurée ce matin dans le hall du Musée du Bardo comprenant des documents d’époque relatifs au premier Traité tuniso-belge en étroit partenariat avec les Archives nationales de Tunisie qui ont, à cette occasion, mis à disposition des documents d’une très grande valeur historique.

A cette occasion, M. Mahmoud Ben Abbès, président de TUNBEL, a déclaré : « l’organisation de cet événement au Bardo a une double-portée : d’abord il commémore le premier fondement de l’amitié entre les deux peuples tunisien et belge qui fut signé justement au Palais du Bardo, à l’époque cœur du pouvoir beylical ; et ensuite, il nous permet de rendre hommage aux victimes du terrorisme qui constitue une préoccupation actuelle commune à la Tunisie et à la Belgique ».

Après la cérémonie d’inauguration, c’est un grand colloque sur le thème « Regards croisés sur le 1er traité d’amitié tuniso-belge : 1839 » qui s’est déroulé en présence d’un nombre considérable de personnalités de tous bords. Le colloque a été animé par deux historiens, l’un Tunisien (M. Mehdi Jerad) et l’autre Belge (M. Christian Cannuyer).

Colloque : «Regards croisés sur le 1er traité d’amitié tuniso-belge : 1839 »

Mehdi JERAD, professeur chercheur en Histoire à la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de Sousse
« Nous avons évoqué d’abord le contexte dans lequel ce traité a été conclu, et qui propose d’établir une « paix éternelle » entre les deux pays. Nous avons analysé ensuite la terminologie employée dans ce document pour essayer de saisir les évolutions dont il témoigne. La comparaison entre les différentes versions du traité illustre une variété de termes employés pour qualifier une entité politique, voire un espace de souveraineté. En même temps, les différences entre ces versions consultées aux Archives Nationales de Tunisie confirment que le texte préparatoire du traité rédigé en arabe, a évolué au cours des négociations diplomatiques. L’intérêt de ce texte réside dans le fait qu’il permet une analyse des échanges possibles des deux côtés concernant l’état d’avancement vers la rédaction finale.
Il s’agit aussi d’étudier le contenu du traité de 1839. Comment expliquer la ratification d’un traité avec un pays éloigné comme la Belgique ? Quelles sont les perceptions de l’autre qui se dégagent à travers les interactions diplomatiques et quelles sont les différentes clauses de ce premier traité entre les deux parties contractantes ? CE sont les thèmes qui ont été développés ».
Christian CANNUYER, professeur à l’Université catholique de Lille, président de la Société Belge d’Études Orientales

« Ce n’est qu’en mars 1838 que le ministère belge des Affaires Étrangères fut en mesure d’installer à Tunis un consul, Jean-Baptiste d’Egremont. Un terme était ainsi mis à un vide regrettable provoqué par la Révolution belge de 1830, le nouvel État n’ayant pas assuré en Tunisie la continuité de la représentation diplomatique qu’y avait le royaume des Pays-Bas. Léopold Ier manifestait un intérêt personnel important pour l’implication de la Belgique dans l’empire ottoman : le souverain était convaincu de la nécessité pour son royaume d’une politique d’expansion économique et coloniale qui le hisserait au rang des grandes nations européennes. Dès novembre 1838, il promouvait le consul d’Egremont au rang de consul général et usa de son influence pour amener le diplomate à mettre sur pied le traité « d’amitié, de commerce et de navigation » conclu personnellement entre le bey Ahmed Ier et le roi des Belges le 14 octobre 1839. La Chambre des représentants n’en fut informée que plus d’un an plus tard, en novembre 1840, ce qui montre à suffisance que l’initiative de ce traité était principalement due au Roi, lequel avait par ailleurs bénéficié de l’entremise avisée de Joseph Raffo, alors secrétaire-interprète du Bey. Une discussion s’engagea à l’hiver 1840 sur le constitutionnalité de la démarche royale et sur le rapport à envisager entre le traité belgo-tunisien et ceux signés à la même époque (3 août 1838 et 30 avril 1840) avec l’empire ottoman, dont dépendait encore formellement la Régence de Tunis. Pour couvrir l’action du Roi, le chef du gouvernement, Joseph Lebeau, dut arguer que le traité d’octobre 1839 n’entraînait pour la Belgique aucune obligation mais se bornait à garantir la sûreté des personnes et des propriétés aux sujets belges dans le royaume de Tunis. Il ne pouvait, en tout état cause, être tenu comme un traité de commerce avec un État souverain, qui aurait dû obtenir l’assentiment des Chambres. »

Bref CV du conférencier :

Christian Cannuyer est né à Ath (Belgique) en 1957.

Licencié en histoire, en philologie orientale et en philologie biblique de l’université catholique de Louvain, il est docteur en égyptologie de l’Université Charles-De-Gaulle Lille-3.
Il enseigne depuis 1991 à la Faculté de théologie de l’Université catholique de Lille, les religions du Proche-Orient ancien, l’histoire des Eglises orientales, la langue copte. Il a également assuré quelques années le cours de copte à l’Ecole des Langues et des Civilisations de l’Orient ancien à l’Université catholique de Paris. Il est aussi Vice-Président du Centre d’Histoire des Religions « Cardinal Julien Ries » à l’Université catholique de Louvain.
Aux éditions Brepols, il dirige la collection « Fils d’Abraham », dont il a signé plusieurs volumes, notamment celui sur les Coptes d’Egypte, couronné du prix quinquennal d’histoire des religions Goblet d’Alviela.
Président, depuis 1994, de la Société Belge d’Etudes Orientales, il est l’auteur à ce jour de plus de 800 publications en égyptologie et en coptologie, sur les chrétiens d’Orient, et sur les dynasties européennes, ce qui lui vaut d’être souvent commentateur des grands événements royaux par certaines chaînes de télévision.

A propos de TUNBEL

Le Conseil tuniso-belge d’affaires économiques et culturelles, TUNBEL, a été créé officiellement le 3 juillet 2014. Sa mission est d’accompagner la Tunisie dans son déploiement économique, stimuler le partenariat commercial, attirer davantage les investissements belges, mettre en œuvre des joint-ventures dans les secteurs innovants, à forte valeur ajoutée et promouvoir les échanges culturels entre les deux pays.

Dans le respect des différences, essor économique et vie culturelle peuvent aller de pair, en effet. La culture n’est-elle pas facteur de développement social et porteuse de richesse et d’emplois ? De plus, La compétitivité du secteur de la culture sert au rayonnement national et contribue à la vitalité des territoires.

Présidé par Mahmoud Ben Abbès, Conseiller en Diplomatie Économique du Royaume de Belgique, le Conseil d’Administration de TUNBEL se compose de personnalités influentes et actives dans la société civile des deux pays:
• Jamel Gamra,
• Elyes Hamza,
• Jalloul Ayed,
• Hager Cherif,
• Pascal Bauwens,
• Lotfi Belhassine,
• Donia Hedda Ellouze,
• Michèle Sioen,
• Patrick Van Craen,
• Johnny De Meirsman,
• Serge Hustache.

Les membres d’honneurs sont :
• Taher Sioud,
• Ghazi Mabrouk,
• Slaheddine Ladjimi,
• Daniel Soil,
• Philippe Nizeyimana,
• Patrick Berckmans,
• Hedi Ben Abbès,
• Feu Slaheddine Ben M’Barek.

Ce Conseil dispose de vastes réseaux relationnels et cultive de nombreux atouts pour identifier les créneaux, concrétiser des projets créatifs dans tous les domaines, optimiser les partenariats et les opportunités de coopération et d’investissement.

Jaguar Land Rover sponsorise le TGO à El Kantaoui

Alpha International Tunisie, représentant officiel des marques Jaguar et Land Rover, a sponsorisé le Tunisian Golf Open, l’un des tournois golfiques les plus importants en Tunisie, qui s’est déroulé du 27 avril au 3 mai 2015 sur le splendide parcours El Kantaoui Golf Course à Sousse.

Une Jaguar XF a été mise en jeuet offerte au joueur qui a réussi en un seul coup le 8e trou le plus compliqué du parcours à plus de 189 mètres, le Hole in One #8. C’est le golfeur italien Gregory Molteni qui a eu la chance d’effectuer ce coup magique et de remporter la superbe Jaguar XF.

La présence de Jaguar Land Rover à ce tournoi était destinée tout d’abord à soutenir une discipline sportive en pleine expansion, permettant également de mettre en avant les très beaux parcours de golf dont dispose la Tunisie.

A l’occasion de ce tournoi, Alpha International Tunisie a exposé la Jaguar XF, la Jaguar XJ, Le Freelender et le Range Rover Evoque et organisé des tests drive aux participants et présents à cet événement de taille qui a drainé de nombreux professionnels et amateurs de golf, chose qui n’a laissé personne insensible face à la classe des véhicules.

Jaguar-Land-Rover-sponsorise-le-TGO