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IFC et le CBF officiellement partenaires pour l’intégration des critères ESG dans le secteur bancaire et financier

Le Conseil Bancaire et Financier (CBF) et la Société financière internationale (IFC), membre du Groupe de la Banque mondiale et la principale institution de développement axée sur le secteur privé dans les pays émergents, ont signé un accord de coopération visant à promouvoir l’intégration des critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG) dans le secteur bancaire et financier.

Cette cérémonie marque le début d’une collaboration stratégique entre le CBF et IFC pour renforcer la durabilité et la responsabilité dans le secteur bancaire et financier. Les deux organisations s’engagent à travailler ensemble suivant un plan d’action pour intégrer de manière proactive les critères ESG dans les politiques et pratiques financières des banques et institutions financières.

Cet accord s’inscrit dans le cadre d’un programme lancé par IFC en février 2023, en partenariat avec le Secrétariat d’État suisse à l’économie (SECO), afin d’encourager l’adoption des pratiques ESG par le secteur privétunisien. Il marque une avancée significative dans la promotion d’une finance responsable et durable en Tunisie, soulignant l’importance croissante des critères ESG dans le secteur financier à l’échelle nationale.

«Aujourd’hui, nous franchissons une étape cruciale vers la responsabilité accrue du secteur bancaire et financier en intégrant les critères ESG dans la politique de financement des institutions financières tunisiennes. Cet engagement envers la durabilité financière, illustré par notre partenariat avec l’IFC, souligne notre détermination à favoriser une croissance durable et à générer une valeur à long terme. L’intégration des critères ESG jouera un rôle essentiel dans l’atténuation des risques, tant pour les PMEs que pour les banques, renforçant ainsi notre capacité à promouvoir la stabilité financière et à contribuer à un avenir économique plus résilient,» a déclaré M. Néji Ghandri, Président du Conseil Bancaire et Financier.

IFC, qui a une longue histoire d’engagement en faveur du développement durable, contribuera à accompagner le secteur bancaire et financier tunisien dans l’adoption des meilleures pratiques internationales.

« Nous sommes ravis de nous associer au Conseil Bancaire et Financier (CBF) pourpermettre au secteur d’améliorer ses pratiques ESG, ce qui est fondamental pour bâtir une économie solide et durable et attirer les investisseurs internationauxen Tunisie, » a affirmé Mme Sarah Morsi, Responsable d’IFC pour la Tunisie et la Libye.« IFC est heureuse de mettre à profit son expérience en la matière afin de soutenir l’essor du secteur privé dans le pays. »Cette alliance stratégique entre le Conseil Bancaire et Financier et IFCa pour objectif de favoriser l’intégration des critères ESG dans le secteur bancaire tunisien. En adoptant les critères ESG, le secteur bancaire tunisien améliorera la conformitéaux pratiques internationales etsera mieux positionné pourconseiller ses clients et satisfaire les exigences croissantes du marché financier mondial.

« Aujourd’hui, la cérémonie de signature marque une étape significative pour notre projet car le secteur bancaire joue un rôle central dans la promotion du développement économique durable et pourrait être une locomotive des pratiques ESG dans le monde des affaires. Le programme IESG vise à améliorer les pratiques ESG en Tunisie et dans d’autres pays de la région MENA, facilitant les investissements plus responsables, favorisant ainsi la stabilité économique à long terme et le bien-être de la société, » a indiqué M. Josef Renggli, ambassadeur de Suisse en Tunisie.

 

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FIN

Exemples de retombées presse:

Site d’information boursière IlBoursa

Site d’information économique: L’Economiste Maghrébin

Site d’information généraliste: Espace Manager

Site d’actualité généraliste: Arabesque

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Collège de Paris annonce l’ouverture d’un Campus à Tunis pour libérer les talents et les ambitions des jeunes tunisiens 

Présent depuis plusieurs années en Tunisie par le biais de partenariats avec un certain nombre d’universités et d’écoles de management très prestigieuses, Collège de Paris a officiellement ouvert ses portes à Tunis en tant qu’organisme de formation professionnelle proposant des diplômes français reconnus par le ministère français de l’Emploi.

L’inauguration officielle de l’établissement a eu lieu le 4 mai 2023 en présence notamment de M. Guillaume Finck, vice-président du Collège de Paris, et de M. Helmi Ahmed El Kamel, Directeur du Campus de Tunis.

Deux écoles sont présentes sur le campus tunisien : il s’agit tout d’abord de ECEMA, école supérieure de commerce et de management basée à Lyon, et Keyce Academy, école supérieure d’informatique installée à Montpellier.

« C’est pour nous une grande joie de pouvoir franchir ce nouveau cap en Tunisie avec l’ouverture de notre propre structure », a déclaré M. Finck à l’occasion de la cérémonie inaugurale. « Nous sommes convaincus que la mobilité académique des jeunes est un vrai facteur de développement des compétences humaines et nous souhaitons contribuer à la formation des élites dont la Tunisie a besoin pour les années à venir » a-t-il ajouté.

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L’implantation du Collège de Paris à Tunis va permettre aux étudiants en Tunisie d’obtenir un diplôme français d’une part et, d’autre part, de poursuivre s’ils le souhaitent leurs études en France.

Ces diplômes, qui sont techniquement de Niveau 6 (équivalent à la licence) et Niveau 7 (équivalent au master), sont reconnus dans une centaine de pays. Ils permettent aux étudiants de bénéficier d’une expérience de mobilité internationale qui leur ouvre des perspectives futures indiscutables dans leur parcours académique puis professionnel à tous points de vue.

La capacité du Campus de Tunis est de 300 apprenants. Son ouverture a eu lieu début mars avec une première rentrée comptant plus d’une cinquantaine d’étudiants déjà inscrits de 10 nationalités. L’établissement possède un agrément d’institut de formation professionnelle agréé par le ministère tunisien de la Formation professionnelle et de l’Emploi.

Collège de Paris propose également un cursus conforme au système français permettant de reconnaître les diplômes BTP et BTS avec une équivalence en première et deuxième années. Cette reconnaissance donne la possibilité aux détenteurs de ces brevets d’accéder à l’enseignement supérieur et venir chercher, en seulement un an (BTS) et trois ans (BTP), un Bachelor (sous réserve que la candidature soit acceptée).

Cela permet de disposer d’une formation professionnalisante qui peut conduire vers l’emploi ou alors à poursuivre les études avec un niveau Master en France avec une alternance (frais de scolarité payés par l’entreprise qui reverse aussi un salaire) ou sur la quarantaine de Campus du Collège de Paris à travers le monde (sans alternance cependant) qui peuvent accueillir les candidats tunisiens qui auront le Bachelor.

M. Helmi Ahmed El Kamel, Directeur du Campus de Tunis, a précisé pour sa part lors d’un point de presse que « cela permettra aux jeunes tunisiens ayant des BTS qui n’ont pas d’alternative, qui ne peuvent même pas rêver d’aller à l’université, de libérer leurs ambitions. Collège de Paris vient pour donner une vraie réponse à cette situation bloquante pour les jeunes jusqu’à présent».

A Tunis, des bourses ont commencé à être attribuées aux plus méritants sur concours scientifique dans leur spécialité pour encourager l’excellence pédagogique pour des étudiants qui envisagent de poursuivre leur master à la prochaine rentrée de septembre.

Les diplômes attribués par cet établissement sont des diplômes français, de même qu’a été entamée une démarche d’homologation des diplômes tunisiens.

Les flux d’étudiants se feront par ailleurs dans les deux sens, avec des étudiants français qui viendront à Tunis. Idem pour les praticiens des deux pays qui enseigneront de part et d’autre dans le cadre d’un programme de mobilité qui les concerne également.

A propos de Collège de Paris :

Depuis sa fondation en 2011 par Olivier et Nicolas de Lagarde, le Collège de Paris s’est donné pour mission de rendre l’excellence accessible grâce à une communauté d’écoles. Celles-ci sont toutes reconnues dans leur domaine de spécialité et offrent une garantie d’insertion sur les marchés mondiaux de l’emploi. Tous les programmes conduisent à des certifications reconnues par l’Etat ou par des organismes d’évaluation internationaux. Les programmes sont spécifiquement conçus pour l’accueil des étudiants internationaux et pour permettre aux étudiants français d’effectuer leur stage ou une partie de leur formation à l’étranger. Les équipes pédagogiques sont formées à l’enseignement auprès des groupes multiculturels et multilingues.

Parce que chaque formation correspond à une ambition personnelle, tous les étudiants du Collège de Paris bénéficient d’un support individualisé.  La réussite de tous – avant, pendant et après la formation – est au cœur de l’action. A la disposition des élèves, les équipes accompagnent chacun dans le succès de son projet.

Les formations sont reconnues par des organismes nationaux et internationaux d’accréditation et de labellisation, garantissant la qualité pédagogique et l’alignement des diplômes sur les standards européens.

La mission du Collège de Paris est de rendre l’excellence accessible à tous et notamment aux trois publics : les jeunes, les salariés et les demandeurs d’emploi.

Quelques exemples de retombées presse:

Site d’information économique et politique BusinessNews

Journal Le Temps (version on line)

Site d’information économique L’Economiste Maghrébin

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Saison été 2023: Air France maintient une présence forte sur la Tunisie

La compagnie Air France annonce un programme de vols sur la Tunisie pour la saison été 2023 qui portera sur trois aéroports : Tunis, Djerba et Monastir.

Air France prévoit en moyenne cet été 4 vols quotidiens vers Tunis au départ de Paris-Roissy Charles de Gaulle, dont le fameux « Red Eye », vol qui décolle de Tunis à 02H20 pour permettre de connecter les passagers vers plus de 200 destinations moyen et long-courriers que la compagnie offre à partir de son hub parisien.

Par ailleurs, Air France a programmé 1 vol quotidien vers Tunis au départ de l’autre aéroport parisien, en l’occurrence Orly, avec un départ désormais matinal à 9h50 et un retour de Tunis à 13h20.

A destination de Monastir, Air France a programmé 4 vols hebdomadaires au départ de l’aéroport de Paris-Roissy Charles de Gaulle durant le pic estival de juillet et août.

Sur Djerba, la saison débutera dès le 15 avril avec 1 vol hebdomadaire chaque samedi qui augmentera progressivement pour atteindre jusqu’à 9 vols hebdomadaires durant les mois de juillet et août, également au départ de l’aéroport de Paris-Roissy Charles de Gaulle.

Les lignes saisonnières Nice-Tunis et Marseille-Tunis seront mises en place dès la fin du mois de juin pour se poursuivre jusqu’à la mi-septembre.

« Nous maintenons une présence forte de notre compagnie pour nous inscrire dans la tendance favorable vers la Tunisie que nous constatons pour la saison été 2023 » confirme Jean-Marc Breton, directeur de la représentation d’Air France pour la Tunisie.

Par ailleurs et afin d’assurer l’intégralité de son programme de vols sur la saison été, Air France a fait le choix de recourir à des compagnies partenaires telles que Amelia dès le mois d’avril (avec des Airbus A.319 disposant de 144 sièges en classe économique) puis ASL courant mai (avec des Boeing 737-800 offrant une capacité de 186 sièges en classe économique).

« Il s’agit de deux compagnies qui respectent les mêmes normes qu’Air France en matière de sécurité et de formation des équipages, et répond en tous points aux réglementations française et européenne » tient encore à souligner Jean-Marc Breton.

Par ailleurs, le 14 mars 2023, pour la 8ème année consécutive, Air France a été classée numéro 1 de la Relation Client 2023 dans le secteur « Transport ». Organisé par BearingPoint et Kantar, ce palmarès est véritablement l’expression de la voix des clients de la compagnie.

Depuis 2003, le Podium de la Relation Client récompense les grandes marques qui, dans leur quotidien, se distinguent en matière de relation client. 11 secteurs d’activité – dont les transports – sont évalués sur des critères de performance communs. Pour chaque organisation, les personnes interrogées sont amenées à se prononcer sur 15 critères structurants de la Relation Client. Des critères examinés sous 3 angles : l’exécution, le lien et l’émotion.

Air France continue ainsi de se démarquer, particulièrement sur les dimensions du lien et de l’émotion. Comme l’année dernière, 89% des clients considèrent que les collaborateurs prennent plaisir à les servir, un taux supérieur de 13 points par rapport à la moyenne de la catégorie « Transport ». Par ailleurs, 88% des clients déclarent que leur expérience de voyage est conforme, voire au-dessus de leurs attentes, 11 points au- dessus de la moyenne du secteur.

Exemples de retombées presse dans les médias tunisiens:

Site Destination Tunisie: Au programme d’Air France cet été : Tunis, Djerba et Monastir

Site IlBoursa: Saison été 2023 : Air France maintient une présence forte sur la Tunisie

Site Entreprises: Les engagements d’Air France pour la saison 2023 en Tunisie

Site magazine Réalités: Saison été 2023 : Air France maintient une présence forte sur la Tunisie

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Sayarti : parution du Guide Auto 2023 en Tunisie

Le Guide Auto 2023 est paru. Il s’agit de l’édition spéciale annuelle du journal Sayarti. En tout, 108 pages de chiffres, de données et d’informations pratiques destinés à la fois aux automobilistes pour les accompagner dans leur quotidien et aussi pour les professionnels du secteur.

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Sayarti N°29 – Janvier 2023- Edition MARKEDIA

25,000 DT

Commandes par email: direction@sayarti.tn

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Tunisie Valeurs, premier intermédiaire en bourse en Tunisie certifié AML 30000

Tunisie Valeurs a été certifié conforme à la norme AML 30000 suite au processus d’évaluation amorcé en janvier 2022 en adéquation avec la norme ISO 17021, conformément à la réglementation internationale des certifications des systèmes de management.

C’est en présence d’experts internationaux issus des métiers de la certification, de la normalisation et de la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, que Tunisie Valeurs s’est vu remettre le certificat de conformité au Standard AML 30000.

Il faut dire que toutes ces dernières années, l’intermédiaire en bourse a élaboré un rigoureux programme de conformité, basé sur plusieurs piliers, dont notamment :

  • Une gouvernance et un contrôle de conformité, à travers une fonction dédiée ;
  • Des politiques, des procédures et des contrôles internes ;
  • Un système d’information pour le suivi des risques BA/FTP ;
  • La définition et la mise en place d’une approche basée sur les risques ;
  • Un programme de formation et de sensibilisation continue au profit de son personnel ;
  • Une structure d’audit interne chargée de la revue indépendante du dispositif.

L’intermédiaire en bourse Tunisie Valeurs s’est inscrit dans une démarche volontaire en impliquant l’ensemble du corps de conformité de l’établissement pour apporter des réponses concrètes, argumentées et justifiées en tout point, lors de l’exercice d’évaluation au référentiel AML 30000.

Pour rappel, l’institution bancaire de référence BIAT -qui détient Tunisie Valeurs- s’est elle-même soumise, auparavant, à l’exercice d’évaluation et s’est faite, de la même manière, certifiée AML 30000, entrant dans le processus de suivi annuel dans le cadre des audits de suivi.

Il est important de préciser que ces initiatives et engagements forts des assujettis, pour prouver et faire valoir leur conformité, par des évaluations indépendantes, ne vient en aucun cas se substituer au travail des contrôleurs internes et externes ou aux autorités compétentes, mais vient au contraire en complémentarité et en appui aux efforts individuels, collectifs et nationaux en matière de respect des réglementations nationales et internationales en vigueur. Un combat commun et général, contre la criminalité financière qui sévit et ses dérives.

Le référentiel AML 30000 se base sur les meilleures pratiques et les exigences les plus strictes de lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme (e.g. GAFI) ; le standard, construit autour des risques, accorde une attention particulière à l’effectivité des dispositifs LAB/FTP. Le cycle de certification permet de consolider dans le temps le statut de conformité de l’entité certifiée et d’inscrire cette dernière dans une approche d’amélioration continue, en vue de se mettre, en bout de cycle, au diapason des règlementations internationales.

La certification a été délivrée par l’organisme français COFICERT (Commission for Financial Certifications) sur la base de l’évaluation réalisée par CFC Partners ; deux organismes tiers indépendants.

  A propos de la norme AML 30000

AML 30000 (pour Anti­Money Laundering – Index 30000) est la norme certifiable, dédiée à la lutte contre le blanchiment d’argent, le financement du terrorisme et la prolifération ; délivrée ou co-délivrée par des certificateurs d’entreprises agréés, en application de la norme ISO 17021.

La norme certifiable AML 30000 est organisée par des experts métiers internationaux de la normalisation et des spécialistes des sujets de lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terroriste. Les cahiers des charges du référentiel AML 30000 ont été déclinés par assujetti pour couvrir l’ensemble des institutions financières et les entreprises et professions non-financières.

AML 30000 certifie, d’une part la conformité technique des dispositifs LBA/FTP mis en place par les personnes assujetties et, d’autre part, l’efficacité de ces mêmes dispositifs.

Quelques exemples de retombées presse:

Site d’informations boursières: IlBoursa

Site d’informations économiques: L’Economiste Maghrébin

Site d’informations politiques et économiques: BusinessNews

Article publié sur le quotidien Le Temps le 13 dec. 2022

 

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« Bien finir l’année en BMW » avec Ben Jemâa Motors et ATL Leasing

La société Ben Jemâa Motors, concessionnaire officiel des marques BMW et MINI en Tunisie, annonce avoir passé un accord de partenariat avec la compagnie ATL Leasing sous le slogan commercial « Bien finir l’année en BMW ».

Il s’agit, à travers cette opération ponctuelle, de lancer une campagne conjointe permettant d’acquérir un modèle BMW basé sur une offre avantageuse de véhicules disponibles immédiatement.

Concrètement, ces avantages portent sur des taux préférentiels, une garantie de 5 ans sur les véhicules ainsi qu’une aide à la reprise de l’ancienne voiture du client dans le cadre de la formule « BMW Premium Selection » initiée par le concessionnaire.

Les modèles disponibles en stock et bénéficiant de l’offre sont les BMW Série 1, BMW Série 2 Gran Coupé, BMW X2 et BMW Série 2 Active Tourer.

Pour permettre aux clients d’obtenir toutes les informations requises et de bénéficier rapidement de l’offre, deux stands commerciaux d’ATL Leasing sont installés durant cette période au sein des deux showrooms Ben Jemâa Motors à la Charguia 2 et aux Berges du Lac 1 à Tunis.

L’opération durera tout au long du mois de novembre 2022 (dans la limite des stocks disponibles).

La presse en parle:

Site spécialisé dans l’automobile: Sayarti

Site d’information généraliste: Réalités

Site d’information économique: Webmanagercenter

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Magazine Sayarti, édition N027, page 2

 

 

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Sayarti: parution de l’édition N°27 du journal de l’automobile en Tunisie

L’édition du mois de novembre 2022 de Sayarti, journal spécialisé dans l’automobile est parue. En Une de ce nouveau numéro, le tout nouveau Geely Coolray qui fait son entrée sur le marché.

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Sayarti N°27 nouvelle série, comprenant un supplément PLUS (Poids-lourd, utilitaires et services). Prix 4.900 DT.

Abonnement sur demande par email à l’adresse: direction@sayarti.tn

Le journal comprend également la liste de tous les modèles automobiles actuellement proposés sur le marché tunisien, également consultable en ligne sur le site www.sayarti.tn

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Air France : 25 vols hebdomadaires sur la Tunisie à compter du 30 octobre

Dans sa programmation hiver qui débute le 30 octobre, Air France annonce un total de 25 vols hebdomadaires sur la Tunisie à partir de ses bases parisiennes de CDG et d’Orly.

Au départ de l’aéroport Paris-Roissy-Charles de Gaulle, Air France opèrera 17 vols hebdomadaires sur Tunis.

Au départ de l’aéroport Paris-Orly, également vers Tunis, la compagnie a programmé 7 vols par semaine.

Un vol hebdomadaire Paris-CDG/Djerba sera également maintenu tout au long du mois d’octobre avec un renforcement attendu sur cette ligne à l’occasion du Sommet de la Francophonie fin novembre.

Tous ces vols sont opérés par des appareils de types Airbus A.320 ou A.321 bi-cabines (affaires/éco).

Air France a par ailleurs été le partenaire-transporteur des membres de la mission économique tunisienne en Californie comportant une vingtaine de chefs d’entreprises de la Conect qui a fait le déplacement à Los Angeles du 17 au 28 septembre dernier en partenariat avec la Chambre de Commerce de Ventura et les ambassades US à Tunis et tunisienne à Washington.

Le site d’information touristique Destination Tunisie en parle

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Cartographie des risques sectoriels en Tunisie et programme de relance économique

Les banques et établissements de leasing en Tunisie se sont adossés, à travers leur corporation (Association professionnelle des banques et établissements financiers APTBEF), à l’agence de notation financière PBR Rating pour réaliser la première cartographie des risques sectoriels au profit du secteur financier tunisien, dans le cadre de leurs politiques de financement, en adéquation avec les règles prudentielles en la matière.

La présentation officielle par les équipes de PBR Rating a eu lieu le 31 mars 2022 et a principalement porté sur les risques sectoriels et macroéconomique, en dressant les enjeux économiques d’aujourd’hui et de demain, pour l’ensemble des secteurs et sous-secteurs de l’économie nationale (selon la nomenclature BCT). Une action stratégique pour le secteur financier, dans ce contexte de crise et d’incertitude générale, notamment dans ses réflexions, en termes de ciblage des secteurs résilients, pour orienter les opportunités de financement, s’inscrire dans une meilleure rentabilité financière et une plus grande efficacité dans le renforcement des efforts de relance ; et par là-même, s’inscrire en phase avec les réglementations en vigueur issues des autorités de contrôle, quant à l’exposition au risque des grands engagements et des créances non-performantes.

L’étude de PBR Rating a notamment permis de dresser 10 Axes majeurs et prioritaires, à engager pour une sortie de crise, à moyen terme. En effet, la Tunisie traverse une période économique très critique de son histoire. Une instabilité qui a été en grande partie engendrée par un important coût de non-réforme structurelle, depuis plus de 10 ans et accentuée par l’impact de la crise Covid et ses répercussions sur le plan local et international. Les orientations mises en œuvre depuis 2011 et la gouvernance budgétaire en grande difficulté sur les dernières années, sont à la base de la crise économique tunisienne. Le contexte de guerre en Europe va exacerber les difficultés et fragiliser la situation économique tunisienne.

 La confiance : L’économie c’est d’abord la confiance des opérateurs. Sur la dernière période, l’administration est au plus bas de son rendement et le secteur privé demeure dans l’expectative. Des mesures efficaces doivent être rapidement mises en œuvre afin de rétablir la confiance : revue de l’arsenal juridique relatif au cadre opérationnel de la fonction administrative, traitement dynamique des créances des hommes d’affaires, réglementation de change, … Des mesures dont l’objet est de démontrer que l’Etat sera du côté des opérateurs économiques qui opèrent dans le cadre de la loi.

  • La stabilité politique et sociale : La succession des équipes gouvernementales a conduit à une instabilité et à une opacité dans la ligne de gouvernance du pays. Le faible support que les gouvernements successifs ont eu de la part de l’Assemblé des Représentants du Peuple (le parlement), a réduit leurs marges de manœuvre dans la mise en place des grandes réformes stratégiques. L’émiettement et les divergences politiques ont empêché l’émergence d’une force de gouvernance et d’une autre d’opposition, capables d’assurer des cycles stables et structurés de prises de pouvoir. L’instabilité politique, l’affaiblissement de l’Etat central et la dégradation de la situation économique ont favorisé une instabilité et des troubles sociaux, qui ont eu d’importants effets sur la production et la productivité d’un grand nombre de secteurs économiques. Un équilibre dans la gouvernance politique et un apaisement social progressif se doivent d’être mis en œuvre, condition sine qua non de la mise en place des réformes et d’un climat sain des affaires.
  • Le financement de l’économie : Les opérateurs économiques tunisiens financent majoritairement leurs activités via leurs fonds propres, les crédits bancaires et le leasing. Le marché financier ne figure pas encore comme une vraie alternative de financement pour les entreprises. La politique des pouvoirs publics en termes de taux sur la dernière décennie fut principalement celle de la lutte contre le fléau inflationniste. Juguler les causes monétaires de l’inflation a permis d’en limiter la progression (mais pas de la réduire structurellement, car ses principaux facteurs sont d’ordre économique et non monétaire) mais a eu pour conséquence, une hausse très importante du coût de financement (pour l’ensemble des opérateurs économiques tunisiens).

Il est primordial de permettre aux agents économiques, un accès à un financement diversifié et à moindre coût, afin de permettre une consolidation de la demande mais surtout afin de faire repartir le moteur de l’investissement, condition primordiale de la relance et de la croissance. Une politique économique adaptées, se doit d’être menée dans ce sens, en totale complémentarité avec un ensemble de mesures économiques permettant d’éviter le spectre d’un taux d’intérêt réel négatif.

  • La lutte contre l’inflation et l’organisation des circuits de distribution : L’augmentation des prix et l’effritement du pouvoir d’achat et des capacités de financement est un fléau qui menace l’économie tunisienne. Toutefois, l’inflation n’est pas uniquement la conséquence de la déchéance du dinar ou de la politique monétaire. Les circuits de distribution désorganisés et déstructurés depuis 2010, sont également un important facteur de l’équation inflationniste, à travers la multiplication des intervenants, parfois illégaux, dans la chaine de valeur, la corruption et le blanchiment d’argent dans l’intermédiation commerciale oisive. Une situation qui a pris de l’ampleur et qui met à mal la rentabilité et la pérennité des producteurs (notamment agricoles) et le pouvoir d’achat des clients. Les pouvoirs publics se doivent de reprendre les activités de logistique, de distribution en gros et de commerce de détail au système informel, notamment à travers le traçage numérique des biens et des marchandises, la simplification des procédures comptables et administratives des petits commerçants, la réorganisation des marchés de gros, le contrôle des points de vente, …

De plus, la régulation de l’intermédiation commerciale et des circuits de distribution aura un effet drainant pour un important niveau de liquidité, du secteur informel vers le secteur formel, permettant ainsi d’alléger les problématiques de financement.

  • La modernisation de l’appareil administratif : Il s’agit de l’un des axes prioritaires pour la Tunisie. Les effectifs administratifs dépassent de loin les vrais besoins en ressources humaines de l’administration. La réforme de l’administration peut être considérée comme la mère des réformes, puisqu’elle vise à doter l’Etat des outils et des moyens nécessaires pour concrétiser ses stratégies et ses réformes, sur l’ensemble de ses domaines d’intervention.

Un investissement dans la digitalisation, la formation et le redéploiement des effectifs (notamment vers l’administration locale, afin de répondre aux prérogatives instaurées par le nouveau code des collectivités locales tunisiennes) sont primordiaux afin de retrouver un état stratège, organisateur et créateur de valeur.

  • La réhabilitation du secteur agricole : La crise économique actuelle a confirmé que le secteur agricole offre l’un des meilleurs potentiels de croissance en Tunisie. Certaines filières ont montré qu’elles pouvaient fonctionner malgré des conditions difficiles. Les exportations agricoles, qui se résument majoritairement en quatre produits (huile d’olive, dattes, produits de la mer et agrumes) pourraient se diversifier davantage et l’ensemble du secteur est capable d’apporter plus de valeur ajoutée via : la modernisation du cadre réglementaire, le renforcement des mécanismes de financement, la gestion des problématiques foncières, la mise à niveau du système de fixation des prix de vente des produits agricoles, le renforcement des infrastructures d’irrigation et de gestion des ressources hydriques, la protection des semences et des variétés locales et la modernisation de toute la chaîne de valeur, afin de gagner en marge, rentabilité et en qualité de produits, au regard des exigences des marchés étrangers.
  • La mise à niveau du secteur industriel : L’outil industriel dont dispose la Tunisie ne lui permet pas de créer la valeur ajoutée dont elle a besoin. Il s’agit essentiellement d’activités qui génèrent très peu de valeur ajoutée mais qui ont une forte employabilité. Il convient d’investir dans une nouvelle génération d’industrie, intelligente et qui offre de l’emploi à la main d’œuvre qualifiée qui souffre aujourd’hui de chômage. Basé sur des processus automatisés, des équipements interconnectés et des systèmes d’informations intégrés, la Tunisie ne peut passer le cap de l’industrie 4.0 que si elle parvient également à mettre à niveau sa formation professionnelle, son système de financement et son cadre réglementaire.
  • La gestion du commerce extérieur : Le déficit de la balance commerciale est structurel en Tunisie. L’essentiel des importations est constitué de matières de première nécessité et des intrants pour les industries. Toutefois, des importations de produits finis, à l’instar des produits textiles, peuvent être rationalisées afin de permettre la consolidation des industries locales et l’allégement du déficit commercial. Réduire durablement le déséquilibre du commerce extérieur tunisien passe par le renforcement des exportations et donc par la commercialisation de produits à plus forte valeur ajoutée. Une stratégie nationale de promotion des exportations doit être mise en place, afin de soutenir les efforts de mise à niveau, de prospection et de logistique des exportateurs.
  • L’intégration de l’économie souterraine et la mise à niveau du système fiscal : Selon les estimations des autorités tunisiennes, l’économie parallèle représente un important volume de création économique. De ce fait, l’intégration de ces activités représente un important levier de croissance pour le pays, à condition de mettre en place les bases d’une croissance inclusive qui atteigne les zones frontalières, de consolider la lutte contre la corruption et d’ajuster les textes fiscaux, de sorte à maitriser les opportunités d’arbitrage qu’offrent les divergences de coûts et de marges, avec les pays voisins.
  • La gestion des finances et des entreprises publiques : Les entreprises publiques se sont transformées en un fardeau pour le pays et doivent être traitées, au cas par cas, dans le cadre d’une vaste stratégie nationale, où le rôle de l’Etat actionnaire/gestionnaire se doit d’être revu. Leurs équilibres financiers précaires font que peu d’entre elles ont une valeur marchande satisfaisante à court terme, réduisant les opportunités de cession ou même de partenariat. Les pouvoirs publics se doivent de commencer par des restructurations profondes dans un premier pas, accompagnées par de vastes plans sociaux et d’investissements. Le coût estimé d’une telle opération serait de l’ordre de 10 000 MTND selon les autorités, presque 10% du PIB national. L’Etat central pourrait liquider certains actifs et en faire un levier global de collecte de fonds, afin de réinjecter l’ensemble des montants récoltés dans d’autres entreprises publiques, dans le but de pouvoir mettre à niveau et relancer les entités fondamentales du service public tunisien.
  • L’indépendance du mix énergétique : La Tunisie est un importateur net de pétrole et de gaz naturel. La production nationale a atteint son plus bas niveau suite aux conflits sociaux qui continuent à secouer les champs de production. La volatilité des paramètres fiscaux et les procédures administratives n’incitent pas les opérateurs étrangers à investir dans le secteur. Cependant, une exploitation optimale du champs Nawara devrait alléger le fardeau énergétique et financier du pays. Toutefois, d’autres investissements, notamment dans les énergies renouvelables sont nécessaires. La Tunisie a le potentiel d’abriter des stations de production d’électricité à partir de l’énergie solaire pour l’ensemble de la Méditerranée. Néanmoins, cela reste tributaire d’un ensemble de préalables, dont la réforme du cadre réglementaire et procédural du secteur.

Quelques exemples de retombées presse:

L’Economiste Maghrébin (en français)

Réalités (en français)

African Manager (en arabe) 

Assabah News (en arabe) 

Journal Le Quotidien du 19 mars 2022, page 2

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Journal Le Temps du 1er avril 2022, page 5

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Wenercon : les banquiers et les financiers se mobilisent pour appuyer la transition énergétique

L’APTBEF (Association Professionnelle Tunisienne des Banques et des Etablissements Financiers) co-organise avec Peco Energy et le Chapitre tunisien de l’AEE, la troisième édition de Wenercon 2022, placée cette année sous le thème « Banque durable & accès à la finance verte pour les PME & BEF ».

L’événement, qui se déroule du 22 au 25 février courant, vise à fournir une compréhension commune du changement climatique, de ses impacts et de ses effets sur le business, les instruments innovants et les sources de financement pour des projets respectueux de l’environnement. Il réunit plus de 200 participants représentant le secteur industriel, les professionnels des PME, les experts financiers et les acteurs du secteur bancaire pour débattre sur le financement, le changement climatique, l’adaptation ou encore le risque que le changement climatique fait peser sur le portefeuille des petites et moyennes entreprises et d’une institution financière. Il s’agit également d’identifier les opportunités et les mesures pour l’élaboration d’une stratégie de lutte contre le changement climatique.

Mme Mouna Saïed, Déléguée Générale de l’APTBEF, a déclaré, lors de l’allocution d’ouverture de l’événement, que malgré les efforts consentis depuis 50 ans à l’échelle mondiale, le climat pose toujours problème. Tout le monde est appelé à redoubler d’effort et à se mobiliser pour atteindre les objectifs de développement durable afin de laisser aux générations futures un environnement où elles pourront vivre dignement et s’épanouir. « Il s’agit également d’accompagner les entreprises dans leur transition énergétique », a-t-elle poursuivi.

Invitée à Tunis, Mme Laurie Wiegand-Jackson, Présidente et fondatrice d’Utility Advantage & AEE Legend in Energy and Founder of CWEEL USA, a axé son intervention sur un autre sujet non moins important à savoir la participation de la femme et son rôle dans la transition énergétique. Elle a considéré que les femmes constituent un levier important de croissance d’après plusieurs expériences. « Les entreprises qui recrutent plusieurs femmes au sein de leurs structures et dans des postes à responsabilité et de décision sont jusqu’à 47% plus performantes que les autres entreprises », a-t-elle affirmé. Cela se justifie, selon elle, par le fait que « les femmes leaders accordent plus d’attention à tout ce qui est performance environnementale, à l’anticorruption et à la transparence ». Elle a appelé, dans cette optique, à former les femmes, à mieux les orienter et à les coacher pour qu’elles soient conscientes des opportunités sur le marché du travail.

De son côté, M. Ayoub Baba, Président de l’AEE Tunisia Chapter, a mis en exergue l’importance de la transition vers les énergies vertes, tout en soulignant que réussir cette transition ne peut se faire sans l’engagement et la participation d’un partenaire important qui est le secteur bancaire.

Il a indiqué par ailleurs que sa structure travaille sur plusieurs projets dont une stratégie d’adaptation qui s’articule autour de plusieurs étapes. Il s’agit principalement d’identifier l’impact du changement climatique sur l’entreprise et d’évaluer les risques et les opportunités en vue d’établir les mesures requises d’adaptation.

Quant à M. Steven Fawkes, Managing Partner EP Group du Royaume-Uni, celui-ci a focalisé sur la question du financement, en expliquant tout d’abord que les demandes de l’énergie sont de plus en plus importantes et qu’une baisse de la consommation de l’énergie classique est difficile à réaliser.

A l’occasion, ont été présentés les résultats d’une étude réalisée par le cabinet McKinzy qui démontre que l’énergie solaire a toujours été sous-estimée. « Il y a plusieurs exemples expliquant pourquoi les établissements financiers devront s’intéresser à la transition énergétique, comme le profit qui est devenu de plus en plus important, la réduction des risques, ainsi que la responsabilité sociétale des entreprises », a dit M. Fawkes.

Dans le but de mener à bien cette transition énergétique, l’intervenant a proposé d’établir une stratégie claire avec une feuille de route stratégique qui détermine le rôle de chacun. La communication pour rapprocher et mobiliser les porteurs de projets avec les établissements financiers, ainsi que la diversification des instruments de financement, sont également fondamentales pour faire réussir cette stratégie.

Carlos Mollinedo, économiste en chef à la BAD (Banque Africaine de Développement), a présenté de son côté les outils et les mécanismes de financement de la banque. Il a souligné le changement de la stratégie de la BAD allant de plus en plus vers le financement des énergies renouvelables depuis 2011. « En Tunisie, nous menons 41 opérations d’un montant total de 1,7 milliard d’euros dont 4 dans le secteur de l’électricité avec un montant total de 300 millions d’euros », a-t-il précisé.

Pour conclure, M. Mohamed Alaoui, expert en finance verte et atténuation du changement climatique, USA, a indiqué qu’il est important d’accéder aux fonds dédiés à la finance verte, soulignant qu’il existe différents mécanismes de financement dont ceux réservés à l’adaptation. Il s’agit précisément d’investissements dans l’infrastructure.

Lors de la première journée de l’événement, les organisateurs ont distribué les prix de Wenercon aux représentants des banques et des entreprises les plus engagées dans l’économie verte et la transition énergétique.

Liste des lauréats:

Best Green Bank:

1er Prix :  Amen Bank

2ème Prix : Attijari Bank

3ème Prix : UBCI

Best RSE Manager:

1er Prix :  Mme Yousser Achich de l’UBCI

2ème Prix : Melle Mejda Ben Hassine de l’ATB

Best Project Energy:

Azur Papier financé par Amen Bank

Best Woman in Energy Award:

Melle Noura Laaroussi

Best Corporate Energy Management :

Groupe Rose Blanche

Best Energy Engineer :

Mme Mariem Maazi

Energy Research Project Project of the Year :

Mme Ons Farah Tbessi

Best Energy Manager :

Mr. Omar Ben Hamed