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L’agence de notation PBR Rating octroie à Enda Tamweel la note de A+ (TUN)

Dans le cadre du programme de PBR Rating relatif à la notation des établissements financiers tunisiens, Enda Tamweel a fait appel à l’agence de notation nationale pour une évaluation en vue de se doter d’une notation financière.

L’agence de notation PBR Rating a attribué à l’institution de microfinance Enda Tamweel la note, en monnaie locale*, de A+(TUN) avec perspective stable (sur une échelle de notation allant de AAA à D) ; une notation stable et de même rang, entre long terme (A+(TUN)) et court terme (A1(TUN)). Cette notation traduit une performance récurrente et durable dans le temps et une résilience accrue dans un environnement instable et un contexte économique fragile. L’agence de notation souligne que cette performance s’explique par une gestion financière rigoureuse et des fondamentaux solides, ainsi qu’une forte notoriété sur le marché tunisien de la microfinance où Enda Tamweel se positionne à la fois comme leader et pionnier.

L’agence de notation affirme que, tout au long de la période 2018-2021, Enda Tamweel a réussi à maintenir une croissance positive, notamment grâce à une stratégie commerciale offensive qui lui a permis de réaliser une progression continue de son activité de crédit.

En termes de rentabilité, la mission de notation PBR Rating a observé une amélioration significative du résultat net en 2021, conséquence d’une couverture plus importante des risques, grâce à une meilleure performance en termes de marge financière et de maîtrise du cycle opératoire, par rapport à l’exercice 2020.

Si elle fait observer la part croissante de l’endettement dans le financement total de l’institution (68% en 2021), l’agence de notation PBR Rating juge cette dépendance justifiée au regard du cadre réglementaire régissant le secteur de la microfinance en Tunisie, lequel ne permet pas une grande diversification des sources de financement. L’agence de notation considère, par conséquent, que la prépondérance de l’endettement ne constitue pas, à date, un risque structurel sur les fondamentaux de l’établissement.

Quant au risque de crédit, PBR Rating souligne que les ratios PAR 30j et PAR 1j de l’IMF ont enregistré une augmentation sur les derniers exercices, imputée à l’impact de la crise sanitaire sur la qualité du portefeuille du secteur des IMF.

En matière de mutations et de transformations, PBR Rating souligne que Enda Tamweel est la seule institution de microfinance en Tunisie à être dotée de la solution Global Banking Temenos T24, avec des montées en version régulières dans le cadre de son partenariat avec Nexus Global Banking.

Enda Tamweel a amorcé, depuis 2019, son processus de transformation digitale, avec la modernisation de son système d’information et la simplification de l’accès aux services financiers en ligne de mire, le but étant d’améliorer l’inclusion financière et d’accélérer la dynamique d’innovation et de transformation au sein de l’institution.

Depuis sa création, Enda Tamweel agit pour l’inclusion financière et sociale des populations exclues du système financier classique par la promotion de l’auto-entrepreneuriat chez les femmes et les jeunes des quartiers ruraux enclavés. L’institution contribue, de ce fait, au développement économique et social du pays en apportant son soutien aux micro-entrepreneurs opérant sur les secteurs sous-financés par les banques, dont les secteurs de l’agriculture et de l’artisanat.

*La Notation en monnaie locale n’est pas plafonnée par la Note souveraine en monnaie étrangère.

 À propos de PBR Rating :

L’agence de notation financière PBR Rating, initiée et parrainée par le Conseil Bancaire et Financier (anciennement appelé Association Professionnelle Tunisienne des Banques et des Etablissements Financiers), a été inaugurée en mai 2018 par le ministre des Finances. L’agence a pour vocation le déploiement et la diffusion de solutions de notations financières et extra-financières, ainsi que la publication d’études et de recherches économiques contribuant à la transparence et à l’efficience de l’information financière, pour l’ensemble des intervenants économiques, nationaux ou internationaux, sur le marché tunisien.

 À propos de Enda Tamweel :

Créée par l’organisation non-gouvernementale internationale Enda inter-arabe, pionnière du secteur de la microfinance en Tunisie depuis 1995 avec un portefeuille de plus de 430 000 clients actifs et un encours de plus de 1 071 millions de dinars, Enda Tamweel opère à travers un réseau de 106 agences et 5 guichets mobiles desservant principalement les régions isolées.

Enda Tamweel première institution de microfinance du pays en termes de prêts, de clients et de réseau d’agences apporte une forte contribution au développement économique du pays en assurant l’inclusion financière des populations vulnérables, privilégiant les femmes, les jeunes et les populations rurales. En encourageant l’auto-emploi par la promotion de l’entrepreneuriat, elle aide un grand nombre de jeunes et de femmes à gagner leur vie par leurs propres moyens.

Quelques exemples de retombées presse:

Site d’information économique & management: Managers

Site d’information économique: Entreprises Magazine

Site d’information généraliste: Tuniscope

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Cartographie des risques sectoriels en Tunisie et programme de relance économique

Les banques et établissements de leasing en Tunisie se sont adossés, à travers leur corporation (Association professionnelle des banques et établissements financiers APTBEF), à l’agence de notation financière PBR Rating pour réaliser la première cartographie des risques sectoriels au profit du secteur financier tunisien, dans le cadre de leurs politiques de financement, en adéquation avec les règles prudentielles en la matière.

La présentation officielle par les équipes de PBR Rating a eu lieu le 31 mars 2022 et a principalement porté sur les risques sectoriels et macroéconomique, en dressant les enjeux économiques d’aujourd’hui et de demain, pour l’ensemble des secteurs et sous-secteurs de l’économie nationale (selon la nomenclature BCT). Une action stratégique pour le secteur financier, dans ce contexte de crise et d’incertitude générale, notamment dans ses réflexions, en termes de ciblage des secteurs résilients, pour orienter les opportunités de financement, s’inscrire dans une meilleure rentabilité financière et une plus grande efficacité dans le renforcement des efforts de relance ; et par là-même, s’inscrire en phase avec les réglementations en vigueur issues des autorités de contrôle, quant à l’exposition au risque des grands engagements et des créances non-performantes.

L’étude de PBR Rating a notamment permis de dresser 10 Axes majeurs et prioritaires, à engager pour une sortie de crise, à moyen terme. En effet, la Tunisie traverse une période économique très critique de son histoire. Une instabilité qui a été en grande partie engendrée par un important coût de non-réforme structurelle, depuis plus de 10 ans et accentuée par l’impact de la crise Covid et ses répercussions sur le plan local et international. Les orientations mises en œuvre depuis 2011 et la gouvernance budgétaire en grande difficulté sur les dernières années, sont à la base de la crise économique tunisienne. Le contexte de guerre en Europe va exacerber les difficultés et fragiliser la situation économique tunisienne.

 La confiance : L’économie c’est d’abord la confiance des opérateurs. Sur la dernière période, l’administration est au plus bas de son rendement et le secteur privé demeure dans l’expectative. Des mesures efficaces doivent être rapidement mises en œuvre afin de rétablir la confiance : revue de l’arsenal juridique relatif au cadre opérationnel de la fonction administrative, traitement dynamique des créances des hommes d’affaires, réglementation de change, … Des mesures dont l’objet est de démontrer que l’Etat sera du côté des opérateurs économiques qui opèrent dans le cadre de la loi.

  • La stabilité politique et sociale : La succession des équipes gouvernementales a conduit à une instabilité et à une opacité dans la ligne de gouvernance du pays. Le faible support que les gouvernements successifs ont eu de la part de l’Assemblé des Représentants du Peuple (le parlement), a réduit leurs marges de manœuvre dans la mise en place des grandes réformes stratégiques. L’émiettement et les divergences politiques ont empêché l’émergence d’une force de gouvernance et d’une autre d’opposition, capables d’assurer des cycles stables et structurés de prises de pouvoir. L’instabilité politique, l’affaiblissement de l’Etat central et la dégradation de la situation économique ont favorisé une instabilité et des troubles sociaux, qui ont eu d’importants effets sur la production et la productivité d’un grand nombre de secteurs économiques. Un équilibre dans la gouvernance politique et un apaisement social progressif se doivent d’être mis en œuvre, condition sine qua non de la mise en place des réformes et d’un climat sain des affaires.
  • Le financement de l’économie : Les opérateurs économiques tunisiens financent majoritairement leurs activités via leurs fonds propres, les crédits bancaires et le leasing. Le marché financier ne figure pas encore comme une vraie alternative de financement pour les entreprises. La politique des pouvoirs publics en termes de taux sur la dernière décennie fut principalement celle de la lutte contre le fléau inflationniste. Juguler les causes monétaires de l’inflation a permis d’en limiter la progression (mais pas de la réduire structurellement, car ses principaux facteurs sont d’ordre économique et non monétaire) mais a eu pour conséquence, une hausse très importante du coût de financement (pour l’ensemble des opérateurs économiques tunisiens).

Il est primordial de permettre aux agents économiques, un accès à un financement diversifié et à moindre coût, afin de permettre une consolidation de la demande mais surtout afin de faire repartir le moteur de l’investissement, condition primordiale de la relance et de la croissance. Une politique économique adaptées, se doit d’être menée dans ce sens, en totale complémentarité avec un ensemble de mesures économiques permettant d’éviter le spectre d’un taux d’intérêt réel négatif.

  • La lutte contre l’inflation et l’organisation des circuits de distribution : L’augmentation des prix et l’effritement du pouvoir d’achat et des capacités de financement est un fléau qui menace l’économie tunisienne. Toutefois, l’inflation n’est pas uniquement la conséquence de la déchéance du dinar ou de la politique monétaire. Les circuits de distribution désorganisés et déstructurés depuis 2010, sont également un important facteur de l’équation inflationniste, à travers la multiplication des intervenants, parfois illégaux, dans la chaine de valeur, la corruption et le blanchiment d’argent dans l’intermédiation commerciale oisive. Une situation qui a pris de l’ampleur et qui met à mal la rentabilité et la pérennité des producteurs (notamment agricoles) et le pouvoir d’achat des clients. Les pouvoirs publics se doivent de reprendre les activités de logistique, de distribution en gros et de commerce de détail au système informel, notamment à travers le traçage numérique des biens et des marchandises, la simplification des procédures comptables et administratives des petits commerçants, la réorganisation des marchés de gros, le contrôle des points de vente, …

De plus, la régulation de l’intermédiation commerciale et des circuits de distribution aura un effet drainant pour un important niveau de liquidité, du secteur informel vers le secteur formel, permettant ainsi d’alléger les problématiques de financement.

  • La modernisation de l’appareil administratif : Il s’agit de l’un des axes prioritaires pour la Tunisie. Les effectifs administratifs dépassent de loin les vrais besoins en ressources humaines de l’administration. La réforme de l’administration peut être considérée comme la mère des réformes, puisqu’elle vise à doter l’Etat des outils et des moyens nécessaires pour concrétiser ses stratégies et ses réformes, sur l’ensemble de ses domaines d’intervention.

Un investissement dans la digitalisation, la formation et le redéploiement des effectifs (notamment vers l’administration locale, afin de répondre aux prérogatives instaurées par le nouveau code des collectivités locales tunisiennes) sont primordiaux afin de retrouver un état stratège, organisateur et créateur de valeur.

  • La réhabilitation du secteur agricole : La crise économique actuelle a confirmé que le secteur agricole offre l’un des meilleurs potentiels de croissance en Tunisie. Certaines filières ont montré qu’elles pouvaient fonctionner malgré des conditions difficiles. Les exportations agricoles, qui se résument majoritairement en quatre produits (huile d’olive, dattes, produits de la mer et agrumes) pourraient se diversifier davantage et l’ensemble du secteur est capable d’apporter plus de valeur ajoutée via : la modernisation du cadre réglementaire, le renforcement des mécanismes de financement, la gestion des problématiques foncières, la mise à niveau du système de fixation des prix de vente des produits agricoles, le renforcement des infrastructures d’irrigation et de gestion des ressources hydriques, la protection des semences et des variétés locales et la modernisation de toute la chaîne de valeur, afin de gagner en marge, rentabilité et en qualité de produits, au regard des exigences des marchés étrangers.
  • La mise à niveau du secteur industriel : L’outil industriel dont dispose la Tunisie ne lui permet pas de créer la valeur ajoutée dont elle a besoin. Il s’agit essentiellement d’activités qui génèrent très peu de valeur ajoutée mais qui ont une forte employabilité. Il convient d’investir dans une nouvelle génération d’industrie, intelligente et qui offre de l’emploi à la main d’œuvre qualifiée qui souffre aujourd’hui de chômage. Basé sur des processus automatisés, des équipements interconnectés et des systèmes d’informations intégrés, la Tunisie ne peut passer le cap de l’industrie 4.0 que si elle parvient également à mettre à niveau sa formation professionnelle, son système de financement et son cadre réglementaire.
  • La gestion du commerce extérieur : Le déficit de la balance commerciale est structurel en Tunisie. L’essentiel des importations est constitué de matières de première nécessité et des intrants pour les industries. Toutefois, des importations de produits finis, à l’instar des produits textiles, peuvent être rationalisées afin de permettre la consolidation des industries locales et l’allégement du déficit commercial. Réduire durablement le déséquilibre du commerce extérieur tunisien passe par le renforcement des exportations et donc par la commercialisation de produits à plus forte valeur ajoutée. Une stratégie nationale de promotion des exportations doit être mise en place, afin de soutenir les efforts de mise à niveau, de prospection et de logistique des exportateurs.
  • L’intégration de l’économie souterraine et la mise à niveau du système fiscal : Selon les estimations des autorités tunisiennes, l’économie parallèle représente un important volume de création économique. De ce fait, l’intégration de ces activités représente un important levier de croissance pour le pays, à condition de mettre en place les bases d’une croissance inclusive qui atteigne les zones frontalières, de consolider la lutte contre la corruption et d’ajuster les textes fiscaux, de sorte à maitriser les opportunités d’arbitrage qu’offrent les divergences de coûts et de marges, avec les pays voisins.
  • La gestion des finances et des entreprises publiques : Les entreprises publiques se sont transformées en un fardeau pour le pays et doivent être traitées, au cas par cas, dans le cadre d’une vaste stratégie nationale, où le rôle de l’Etat actionnaire/gestionnaire se doit d’être revu. Leurs équilibres financiers précaires font que peu d’entre elles ont une valeur marchande satisfaisante à court terme, réduisant les opportunités de cession ou même de partenariat. Les pouvoirs publics se doivent de commencer par des restructurations profondes dans un premier pas, accompagnées par de vastes plans sociaux et d’investissements. Le coût estimé d’une telle opération serait de l’ordre de 10 000 MTND selon les autorités, presque 10% du PIB national. L’Etat central pourrait liquider certains actifs et en faire un levier global de collecte de fonds, afin de réinjecter l’ensemble des montants récoltés dans d’autres entreprises publiques, dans le but de pouvoir mettre à niveau et relancer les entités fondamentales du service public tunisien.
  • L’indépendance du mix énergétique : La Tunisie est un importateur net de pétrole et de gaz naturel. La production nationale a atteint son plus bas niveau suite aux conflits sociaux qui continuent à secouer les champs de production. La volatilité des paramètres fiscaux et les procédures administratives n’incitent pas les opérateurs étrangers à investir dans le secteur. Cependant, une exploitation optimale du champs Nawara devrait alléger le fardeau énergétique et financier du pays. Toutefois, d’autres investissements, notamment dans les énergies renouvelables sont nécessaires. La Tunisie a le potentiel d’abriter des stations de production d’électricité à partir de l’énergie solaire pour l’ensemble de la Méditerranée. Néanmoins, cela reste tributaire d’un ensemble de préalables, dont la réforme du cadre réglementaire et procédural du secteur.

Quelques exemples de retombées presse:

L’Economiste Maghrébin (en français)

Réalités (en français)

African Manager (en arabe) 

Assabah News (en arabe) 

Journal Le Quotidien du 19 mars 2022, page 2

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Journal Le Temps du 1er avril 2022, page 5

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Le groupe Air France annonce un renforcement de ses vols sur la Tunisie pour l’été 2022

Air France a arrêté un programme de vols consolidés sur la Tunisie pour la saison été 2022.

En plus de sa ligne régulière traditionnelle au départ de Paris-CDG, la compagnie va mettre en place de nouvelles dessertes vers Tunis, Monastir et Djerba au départ des aéroports parisiens et de la province.

A ce titre et dès la fin du mois d’avril, la ligne Paris-Djerba sera réactivée aux côtés de la ligne Paris-Monastir qui seront opérationnelles durant les pics de haute saison. Et à compter du 29 mai, Air France lancera un nouveau vol quotidien vers Tunis au départ de l’aéroport de Paris-Orly.

Durant les mois de juillet et août, elle mettra en place des vols saisonniers sur Tunis au départ de Nice et de Marseille.

Ces vols seront effectués en complémentarité avec le réseau Transavia, filiale d’Air France-KLM, qui s’apprête également à enrichir son programme de vols vers la Tunisie au départ de Lyon, Montpellier et Nantes en plus de nouvelles dessertes, notamment sur les axes Nice-Monastir, Marseille-Monastir et Marseille-Tunis.

Au cours de sa récente visite en Tunisie, M. Nicolas Fouquet, directeur régional d’Air France-KLM pour l’Afrique du nord et le Sahel, a été reçu par les ministres, successivement du Tourisme, M. Moez Belhassine, et du Transport, M. Rabie Majid.

La délégation, composée également de M. Jean-Marc Breton, directeur d’Air France Tunis, et de M. Karim Chouchane, directeur général de Kars International, représentant de Transavia, a échangé avec les ministres sur les perspectives de l’été 2022 dans le secteur aérien entre la Tunisie et la France pour le transport notamment des Tunisiens résident à l’étranger et des touristes venant en vacances.

Le groupe Air France confirme à travers son programme de l’été 2022 son investissement sur la destination à travers la mise en place d’une offre en sièges consolidée au départ de la France vers la Tunisie.

Quelques exemples de retombées  générées dans la presse tunisienne:

Journal Destination Tunisie spécialisé tourisme

Site Ilboursa spécialisé dans l’information économique

Site d’informations générales Espace Manager

Site d’informations en langue arabe ElQuotidien

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Quotidien Le Temps du 2 mars 2022

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TIM, nouveau représentant en Tunisie de DAF, leader européen des poids lourds

TIM (Truck International Mobility) annonce le démarrage de la commercialisation en Tunisie des poids lourds de la marque néerlandaise DAF, l’un des leaders européens du secteur.

En sa qualité de nouveau représentant de DAF, TIM, filiale de SETCAR, groupe fondé dans les années 70 et qui opère dans divers secteurs d’activité dont notamment la distribution de camions, autocars et véhicules automobiles, vient d’introduire, dans une première étape, des tracteurs routiers pour répondre aux attentes du marché tunisien sur ce segment spécifique.

Il s’agit du modèle DAF CF de nouvelle génération qui a obtenu toutes les homologations requises et qui est destiné à subvenir aux besoins de l’ensemble des segments du transport routier.

Les modèles DAF CF offrent des coûts d’exploitation et d’utilisation au km parmi les plus rentables grâce à un LCC (Life Cycle Cost ou coût du cycle de vie) optimal combinant robustesse, rentabilité, consommation de carburant maîtrisée, conditions de sécurité ainsi que de confort pour les chauffeurs.

« Nous commercialisons tous les produits de la gamme DAF qui est considérée comme une marque premium et également leader européen sur le segment des tracteurs routiers avec une part de marché de près de 20% » souligne à ce propos M. Nafaa Lassoued, Directeur général adjoint de la société TIM. « Notre ambition est de devenir leader de notre marché sur ce segment, d’une part grâce à l’excellent rendement que le produit apporte à ses utilisateurs et, d’autre part, à l’expérience et au savoir-faire de notre entreprise » ajoute-t-il.

La représentation de la marque DAF s’appuiera sur les infrastructures et les ressources humaines qualifiées du groupe SETCAR et de ses différentes filiales.

Fort de ces atouts, TIM fournira à ses clients tous les services qu’ils sont en droit d’attendre pour l’exploitation optimale de leurs véhicules à travers son réseau, la disponibilité immédiate des pièces de rechanges et la fourniture de services d’entretien et d’assistance assurée par une équipe dédiée et formée aux standards de DAF.

Les tracteurs routiers DAF pourront être entretenus au sein des deux principaux ateliers de TIM/SETCAR, à Ezzahra (GP1) et Sousse (zone industrielle Ghrib). Plus encore, la société a déployé deux véhicules d’assistance technique rapide (Mobile Workshop) qui se déplaceront pour répondre à toute demande, y compris pour les entretiens périodiques.

Dans une démarche de proximité avec les utilisateurs de camions de la marque DAF, TIM ouvrira progressivement un certain nombre d’agences et de succursales dans différentes régions du pays. A terme, le programme d’extension des agences permettra de couvrir un rayon de 60 km afin de réduire à son maximum le temps d’immobilisation des engins et leur assurer un taux de disponibilité élevé.

Le DAF CF importé en Tunisie par le concessionnaire TIM se distingue par sa consommation de carburant la plus faible du secteur. Sur les longs trajets, le camion réalise jusqu’à 7 % d’économies de carburant grâce au couple plus élevé à des régimes plus bas, ainsi qu’aux chaînes cinématiques optimisées, aux nouveaux essieux arrière à haut rendement et aux améliorations apportées à l’électronique et à l’aérodynamisme. De plus, les économies de carburant permettent de limiter le coût total de possession.

Le DAF CF n’est pas seulement le camion le plus polyvalent du secteur, c’est également un véhicule très élégant, à l’intérieur comme à l’extérieur. Les nouvelles caractéristiques de la carrosserie et la nouvelle architecture de la cabine en font un véhicule attrayant, confortable et agréable à conduire.

Sa cabine assure également un confort exceptionnel tout en garantissant des niveaux de bruit extrêmement faibles. Les sièges bénéficient d’une nouvelle garniture et le volant a été doté d’accents argentés intégrant des nouvelles commandes permettant une conduite sécurisée. Les parois, les matelas et les rideaux affichent de nouvelles couleurs chaudes, pour un environnement haut de gamme dans lequel tous les chauffeurs se verront offrir des conditions de travail confortables.

Le DAF CF propose un éventail de nouvelles puissances nominales offertes par les moteurs à couple multiple PACCAR MX-13. Ces puissances nominales permettent de bénéficier d’un couple encore plus important à bas régime et de limiter le régime moteur. Les véhicules peuvent ainsi rouler à faible régime moteur (900 tr/min) pour plus d’efficacité, de fiabilité et de durabilité, mais aussi pour produire des niveaux de bruit extrêmement bas. Un surplus de couple est également disponible au rapport le plus élevé pour une meilleure maniabilité.

Quelques retombées dans la presse en Tunisie:

Sayarti: Premier magazine automobile en Tunisie

L’Economiste Maghrébin: site d’informations économiques

Webmanagercenter: site d’informations en ligne

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Tunisair Express bientôt sur la ligne Tunis-Rome

Dans le cadre de l’extension de son réseau international de proximité, Tunisair Express ouvrira à partir du 4 juillet 2021 une nouvelle desserte au départ de Tunis-Carthage vers Rome-Fiumicino.

Deux fréquences par semaine seront assurées dans un premier temps tous les dimanches et lundis, avant de passer à une troisième fréquence le mardi à compter du mois d’août en complémentarité avec les vols de la compagnie Tunisair.

L’ouverture par Tunisair Express de cette ligne estivale a pour objectif d’offrir des capacités aériennes supplémentaires pour permettre aux Tunisiens résident à l’étranger de passer leurs vacances en Tunisie.

Ce vol est également ouvert aux touristes individuels et aux tour-opérateurs italiens désireux d’y contracter des blocs-sièges pour leur clientèle.

Au départ de Tunis, la destination Rome offrira une alternative complémentaire aux Tunisiens désireux de se déplacer vers la capitale italienne à titre individuel ou dans le cadre de séjours organisés par les agences de voyages.

Cette nouvelle ligne internationale s’ajoute au réseau de Tunisair Express qui dessert actuellement Malte, Palerme, Naples au départ de Tunis et, depuis peu, Tripoli en Libye au départ de Sfax.

Quelques exemples de retombées presse dans la presse tunisienne :

Destination Tunisie: site d’informations touristiques

BusinessNews: site d’informations politiques et économiques

Mosaïque FM: site de la station radio

Espace Manager: site d’information généraliste

Entreprises Magazine: site d’information économique

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Article sur le sujet paru dans le quotidien arabophone Assabah du 17 juin 2021 en page 8.

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Article paru dans le quotidien francophone Le Temps le 17 juin 2021 en page 2.